Position de Qosmos sur la Syrie suite aux articles de presse parus récemment

Paris, France – le 8 décembre 2011

Suite à la parution de plusieurs articles concernant le projet Asfador en Syrie, Qosmos souhaite apporter les précisions suivantes.

Le métier de Qosmos n’est pas de vendre des systèmes de surveillance. Nous fournissons une brique technologique utilisée dans des domaines aussi variés que l’optimisation des réseaux, la qualité de service informatique, les études marketing, l’interception légale et la cyber sécurité.

Notre société vend à des entreprises et des partenaires qui intègrent nos composants à leurs propres applications et en assurent la commercialisation. C’est ce qui s’est passé dans le cas du projet en Syrie. Qosmos était un fournisseur d’un sous-traitant d’une société italienne qui a travaillé sur le projet avec le gouvernement syrien. Nous n’avons jamais eu de relations avec le gouvernement syrien.

L’évolution des événements en Syrie depuis l’été 2011 a amené la direction de Qosmos à prendre la décision de se retirer du projet quelles qu’en soient les conséquences (contractuelles et financières), et ce bien avant la parution d’articles dans la presse. Cette décision a rendu impossible la mise en œuvre du composant Qosmos, car nous n’avons pas fourni les moyens techniques nécessaires à son fonctionnement.

Notre volonté est de pouvoir maîtriser l’utilisation de notre technologie et de nous assurer que les applications faites par nos clients ou partenaires sont conformes à nos valeurs. C’est pourquoi nous militons pour qu’une réglementation soit définie pour encadrer l’utilisation de ces technologies.